Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : Epithete Films, M6 films, Le Studio Canal +
Distribution : Cinévia
Réalisation : Laurent Chouchan
Scénario : Laurent Chouchan
Montage : Anne Lafarge
Photo : Denis Rouden
Musique : La Belle Equipe
Maquillage : Pascale Bouquière
Durée : 90 mn
 

Philippe Torreton : Vincent
Julie Gayet : Jeanne
Sophie-Charlotte Husson : Hélène
Jean Yanne : le beau-père
Micheline Presle : la mère
Anne Le Ny : la mairesse
Pascal Elbé : Benoît
Françoise Levantal : le vendeur
Carole Richert : Irène
 

 
 
Vertiges de l'amour


France / 2001

19.12.01
 

Scénariste de la plus pitoyable sitcom française de tous les temps (il le reconnaît lui- même), "Voisins- Voisines", et du dernier film de Chatilliez (Tanguy), Laurent Chouchan passe pour la première fois derrière la caméra. Vertiges de l’amour fait la part belle à une certaine nostalgie joyeuse grâce à une bande-originale éclectique, passant de Jeanne Manson chantant "Faisons l'amour avant de nous dire adieu", à "Ma poule" de Maurice Chevalier sans omettre "Somewhere over the rainbow" de Gene Vincent. Plus difficile en revanche a été l’acquisition de la chanson "My Way", dont les droits d’exploitation pour la film n’ont été obtenus que quinze jours afin la fin du montage.





Philippe Torreton, plus habitué aux drames (Capitaine Conan) s’avère un choix surprenant mais pertinent. La sublime Julie Gayet qui devait à l'origine interpréter le rôle d'Hélène, l'épouse de Philippe Torreton dans le film, a préféré incarner Jeanne, la femme-fantasme du héros. Le rôle d’Hélène échouant à l’inconnue Sophie-Charlotte Husson, dont c’est ici le premier film. Le titre du film est un hommage à la chanson d’Alain bashung (voir générique de fin). Cependant la chanson n’apparaît à aucun moment dans l’oeuvre.
Tourné à la même période que Tanguy, le film de Chouchan sort à un mois d’intervalle de celui son ami Etienne Chatilliez.
 
hervé
 
 
 
 

haut