Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : G2 films, Strawberry Vale Films, Geißendörfer Film und Fernsehproduktion
Distribution : E.D. Distribution
Réalisation : Ben Hopkins
Scénario : Thomas Browne, Ben Cheek, Ben Hopkins
Montage : Alan Levy
Photo : Julian Court
Son : Andy Shelley
Musique : Dominik Scherrer
Durée : 87 mn
 

Tom Fisher : No, Tomas Katz
Ian McNeice : le chef de la police
Paul Ritter : Dave
Tony Maudsley : le chauffeur de taxi
William Keen : Cuthbert
Andrew Melville : le ministre de la pêche
 

site officiel
 
 
The Nine Lives of Tomas Katz (Les neuf vies de Tomas Katz)


Royaume Uni / 2000

11.06.03
 

Entièrement tourné à Londres avec une équipe minimale, Les 9 Vies de Tomas Katz se veut selon le réalisateur Ben Hopkins (à qui l’on devait déjà Simon le magicien), le fruit d’une union peu commune entre un long-métrage de série B, une performance improvisée, et une œuvre expérimentale. L'idée était de «créer un film non ordinaire, d'une façon peu ordinaire».




Le cinéaste raconte : «En général, les interprètes improvisaient devant la caméra ou interprétaient des scènes écrites issues d'improvisation. En fonction du besoin, l'équipe variait d'une personne, moi ou le chef opérateur, à trente. Nous tournions en DV vidéo, en Betacam, avec une Bolex à ressort, ou avec une caméra 16mm standard. Quelques scènes furent préparées avec attention, mais nous avions plus de goût pour des errances en camionnette dans Londres, à la recherche de lieux au jour le jour. Dans le cas de lieux délicats comme Hyde Park ou du Parlement (au coût de location trop élevé), nous débarquions et nous tournions ce que nous pouvions en tournage-guérilla. Le film a été monté et mis en ligne digitalement avant d'être remis sur support film. Cela nous a laissé une grande liberté , autant quant au choix des supports de tournage (formats vidéo et films) et quant aux possibilités pour le montage (technique de surimpression vidéo standard, accélération de plans, etc.)».
 
laurent
 
 
 
 

haut