Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : Stephen Taylor
Réalisation : Simon Shore
Scénario : Patrick Wilde
Montage : Barrie Vince
Photo : Alan Almond
Musique : John Lunn
Durée : 110 mn
 

Ben Silverstone : Steven
Brad Gorton : John
Charlotte Brittain : Linda
Stacy A. Hart : Jessica
 

site officiel
dossier : ecran rose
 
 
Get Real (Comme un garçon)


Royaume Uni / 1998

23.06.99
 



Le livre Bye Bye Bahia

Patrick Wilde a écrit Comme un garçon pour le théâtre. Sa pièce etait très militante, politique, presque provocatrice et didactique. L'histoire d'amour est restée la même. Mais, dans le film, le personnage principal a davantage le contrôle de sa vie. Pour l'adaptation cinématographique, Patrick Wilde et Simon Shore ont mis trois ans. Ce ne sera pas du temps perdu, car, avant même sa sortie dans les salles françaises, il aura déjà remporté le Prix du Public au Festival d'Edimbourg, ainsi que le Prix du public et le Prix du Jury au Festival de Dinard.
 
chris
 
 
 
 

haut