Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : Centropolis Entertainment
Distribution : Columbia TriStar
Réalisation : Josef Rusnak
Scénario : Joseph Rusnak, Ravel Centeno-Rodriguez, d'après le livre de Daniel Galouye
Montage : Henry Richardson
Photo : Wedigo von Schultzendorff
Décors : Victor J. Zolfo
Musique : HIM, Thomas Wanker
Effets spéciaux : Centropolis Effects
Durée : 100 mn
 

Craig Bierko : Douglas Hall, John Fergurson
Armin Mueller-Stahl : Hannon Fuller, Grierson
Gretchen Mol : Jane Fuller, Natasha Molina
Vincent D'Onofrio : Jason Whitney, Jerry Ashton
Dennis Haysbert : Larry McBain
Jeremy Roberts : Tom Jones
Steven Schub : Zev Bernstein
 

 
 
The Thirteenth Floor (Passé virtuel)


USA / 1999

18.08.99
 





Petit budget et sans stars, Passé virtuel va tenter de se faire une place au soleil dans l'univers des thriller-SF cybernétiques. Loin du cliché que des films comme Johnny Mnemonic ou The Matrix, l'oeuvre de Josef Rusnak ne rejoint pas le lapin blanc d'"Alice aux pays des merveilles" (cf The Matrix), mais préfère rester tout à fait crédible. Les décors sont étudiés avec précision, même si les années 30 sont plutôt enjolivées, tout repose sur les acteurs et l'intrigue et non sur les effets spéciaux.
 
alix
 
 
 
 

haut