Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  



Donnez votre avis...


Nombre de votes : 18

 
Le Roi Lion (The Lion King)


USA / 1994

09.11.1994
 



LION'S CLUB

Le livre Bye Bye Bahia



En ce moment, la 3D revisite les meilleurs films de la génération 90, c'est donc sans étonnement que Disney nous ressort leur plus grand succès de l'époque en version relief : Le Roi Lion. Désormais classé parmi les classiques, le film d'animation, alliait toutes les qualités du studio : une histoire universelle, une musique composée par un pianiste pop virtuose, une destinée cruelle (qui n'est pas si éloignée des Contes de Grimm), une réalisation soignée et rythmée, de l'humour (pour les petits inclus), de l'amour (pour les filles), de l'aventure (pour les garçons), et de l'émotion (comme dans Bambi). Certes moins délirant qu'Alladin, moins bluffant que La Belle et la bête, moins original que les Pixar, Le Roi Lion a pourtant une dimension plus légendaire, à la fois ample dans sa mise en scène et fédérateur dans son approche.
Enfant, on frissonnait devant ce dessin-animé si original, une tragédie shakespearienne ou presque, et spectaculaire, avec ces paysages africains en format cinémascope. En grandissant, c'est la même réaction. La 3D n'a fait qu'accroître la perfection de ce chef-d'oeuvre.
La scène de la fuite des gnous est indescriptible aujourd'hui tant on se sent pris dans le mouvement. Le moindre détail pénètre nos yeux déjà ébahis dans le passé. On souhaite fuir la salle aux côtés de Simba, mais nous restons quand même, car un film comme celui-ci, on le voit jusqu'au bout quitte à se faire écraser visuellement par des gnous.
Le Roi Lion 3D fera revivre en vous les émotions du passé. Votre enfance est revue et améliorée - elle prend un autre relief - avec les techniques actuelles qui n'estomperont en rien vos sensations. Ces larmes qui coulaient à l'époque, continueront de couler aujourd'hui, mais auront cette fois des lunettes relief pour les camoufler.
 
cynthia

 
 
 
 

haut