Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



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Austin Powers in Goldmember (Austin Powers 3)


USA / 2002

23.10.02
 



PLEURE UN AUTRE JOUR





" - Quel est ton nom ?
- Fook mi
"

Que la power soit avec vous ! Avec des moyens dignes des mensurations mamellaires de Dolly Parton, le nain connu Mike Myers, alias Austin Powers, Dr Evil et Gras-Double, nous la joue kama-sutra un jour de greffe de pénis.
L’humour est pipi-caca-boudin à fond, et le pire c’est que l’orgasme zygomatique est proche. Aussi je laisse le soin à mes clones critiques de vous en faire partager les moins bons et les meilleurs moments.
"Le film de Spielberg est comme d’habitude très mauvais et complètement opportuniste. Politiquement vide, il renvoie à l’enfance de Austin Powers avec la vision d’un Peter Pan attardé et en réaction à l’échec de 1941. Rien de gay, rien de fou, tout est marketé jusqu’au casting : Cruise, Paltrow, Spacey, De Vito, Travolta, mélange de has been et d’oscarisés surfaits. Il aurait fallu que la série se renouvelle vers autre chose qu’une simple déviance qui rappelle furieusement les écrits de Tony Benacquista dans leur propos les plus lacaniens." (Libération)
"C’est plein de couleurs, ça bouge dans tous les sens, c’est du cinéma comme on aime, avec des tas de surprises . Jubilatoire !" (Studio Magazine)
"La thèse entre le moralisme américain où l’homme et ses hormones doivent triompher de l’adversité est mise à mal avec ce chaos déjanté et bigarré où le mal et le bien se métissent dans un joyeux bordel ADN. Cette saga familial rappelle bien plus Star Wars que James Bond. Il est invraisemblable qu’un britannique " foute " le bordel ainsi. Mais il est jouissif de constater qu’Austin Powers est le fils d’Harry Palmer himself." (The Times)
"C’est simple, on trouve pas les mots tellement c’est giga. Y a même les seins de Britney Spears ! ! !" (site web de cinéma)
"La succession des parodies (Mission Impossible, James Bond, Le Silence des Agneaux, Godzilla) le fait héritier de Mel Brooks avec un personnage digne du Saturday Night Live. Les humours se mélangent à travers une historiette qui ne fait que réunir gags et péripéties, certains déjà vus dans les précédents épisodes (l’ombre chinoise), d’autres très inventifs (les sous titres de la version japonaise, de loin le meilleur)." (Le Figaro)
"Mike Myers explore jusqu’au bout son personnage franchement infantile, et parfois un peu limite. Son sens de la comédie le sauve souvent du vulgaire, l’installant dans une dérision de second degré qu’il est vain d’analyser. A déconseiller aux enfants des écoles privées catholiques." (Télérama)
"Le meilleur slogan pour l’Austin Mini de Rover, c’est celui d’Austin Powers : Ce n’est pas la taille qui compte mais ce qu’on en fait." (L’Auto Journal)
"(L’esprit des Nuls + le réality show des Ozbourne) x les shows musicaux de Broadway + les clips vidéos de MTV = un grand délire comme on aimerait en voir plus souvent." (Première, Télé 7 Jours)
"Faut voir la tête consternée de Spielberg !" (L’Express, express)
"La série s’enrichit à chaque épisode de cette relation freudienne entre le bien et le mal, Austin et Evil, les pères et leurs rejetons. Un vrai délice de torture psychologique qui met " Les Feux de l’amour " au niveau d’une banale sitcom d’AB Productions" (Psychologie Magazine)
"Ca fait un peu succession de sketches avec commentaires graveleux et dialogues de cours d’école, mais on se fend la gueule, en tout cas bien plus que dans le numéro 2 ; en plus les filles sont canons et on prie pour le retour de la blaxploitation en voyant Beyoncé se déhancher. Carrément un trip pour mettre le viagra à la poubelle." (FHM)
"Tout est facile, déjà entendu, archi connu , même ce sous marin qualifié évidemment de long, dur et bien rempli. Bien misogyne quand même..." (Ségolène Royale au JT de France 2)
"Oubliez la VF désastreuse. La VO est recommandée. Les jokes sont très US." (Nova)
"A ne pas louper, un excellent moment et du grand spectacle avec Nathan Lane, égérie gay de Broadway, qui roule un patin au plus hétéros des héros." (Têtu) "Ultra tendance et parfait pour ce revival eighties où MTV est considérée comme la déesse de notre adolescence. Myers ne sait jouer qu’Austin. Pas sexy mais terriblement kitsch. Déjà démodé, tellement cool." (Tecknikart)
"Austin, enfin, Mike, tu as déjà baisé avec une girafe ?" (Ardisson dans Tout le monde en parle)
"Mister Myers, ou Powers devrais-je dire, où puisez-vous votre inspiration démente pour cette vulgarité si comique ?" (Ardisson dans Rive droite Rive gauche).

(PS : évidemment, tout cela est pure parodie... ou caricature)
 
vincy

 
 
 
 

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