Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.
Production : Mandeville films, Walt Disney Pictures Distribution : Walt Disney Studios Motion Pictures Réalisation : Bill Condon Scénario : Stephen Chbosky, Evan Spiliotopoulos d'après le conte de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont Montage : Virginia Katz Photo : Tobias A. Schliessler Format : Couleur - 2,35:1 - son Dolby Digital Décors : Katie Spencer Musique : Alan Menken, Howard Ashman, Tim Rice (chansons) Directeur artistique : Sarah Greenwood, Niall Moroney Durée : 129 mn
Emma Watson : Belle
Dan Stevens : la Bête, le Prince Emma Thompson : Mme Samovar Ewan McGregor : Lumière
Josh Gad : LeFou Ian McKellen : Big Ben Kevin Kline : Maurice, le père de Belle
Luke Evans : Gaston
Gugu Mbatha-Raw : Plumette
Stanley Tucci : Candenza
Fin du xviiie siècle, dans le château proche d'un petit village français vivait un jeune prince capricieux, égoïste et insensible. Pour avoir refusé un abri à une fée déguisée en une vieille mendiante, il est condamné à vivre sous l'apparence d'une bête jusqu'à ce qu'il puisse aimer une femme et s'en faire aimer en retour, ce qui le délivrerait du sortilège qui a frappé son château et ses habitants. Mais les années passent et son désespoir grandit.
Au village vit une belle jeune fille, rêveuse et romantique, nommée Belle. Courtisée par un méchant chasseur nommé Gaston, qu'elle considère comme grossier et vaniteux, elle aide son vieux père nommé Maurice, un inventeur fantasque qui se perd dans la forêt et se réfugie dans le château de la Bête. Belle part à sa recherche, et conclut un pacte avec la Bête : la vie de son père contre la sienne. Prisonnière à son tour, elle découvre un monde magique et découvre peu à peu la Bête sous un autre jour.