Cannes 2010 : succès en Corée du sud pour The Housemaid et Poetry

Posté par vincy, le 22 juin 2010

Les deux films sud-coréens présentés en Compétition au dernier festival de Cannes, The Housemaid et Poetry, sont sortis dans les salles de Corée du sud durant le Festival, soit le week-end du 14 mai.

Deux films différents. Réalisé par Im Sang-soo, The Housemaid est un drame psychologique et un zeste érotique à la Roman Polanski.Poetry est une fable dramatique avec une légende du cinéma national . Il a reçu le prix du meilleur scénario à Cannes.

The Housemaid a été le film le plus vu dans le pays lors de son premier week-end, avec 655 000 entrées dans 679 salles, surclassant son concurrent Robin des bois. Au total, il a su séduire 2,5 millions de spectateurs. L'arrivée de nouvelles productions locales à succès (The Servant, 71:Into the Fire) l'ont fait sortir du Top 10, mais il demeure l'un des films les plus populaires de l'année. Il sortira le 15 septembre en France.

Poetry joue dans un registre plus confidentiel. Avec 29 000 entrées dans 194 salles le premier week-end, le film de Lee Chang-dong est arrivé 7e du box office. Il est resté dans le bas du tableau de nombreuses semaines, dépassant les 200 000 spectateurs. Il sortira le 25 août en France.

Cannes 2010 – La scène hot du jour : The Housemaid

Posté par vincy, le 14 mai 2010

the housemaid im sangsooDécidément les frustrés sexuels savent prendre leur orgasme en main. Après Mimi Le Meaux dans Tournée (voir article d'hier), c'est au tour du très bien foutu Lee Jung-Jae d'être insatisfait et de se laisser aller à ses fantasmes. Sa femme, enceinte, tente pourtant une position intéressante (à cheval, mais dos tourné) . Hélas, il ne peut pas aller jusqu'au fond, et donc jusqu'au bout. Elle le finit par la bouche (au passage on admire son corps magnifique), mais cela ne lui suffit pas.

Il a alors l'idée d'aller rendre visite à sa femme de chambre (la très jolie Jeon Do-Youn) qui remet sa brassière en catastrophe. Contre un verre de bon vin, elle accepte de retirer le drap qui la couvre. Il entreprendre alors une caresse tactile sur sa nuque, sous sa brassière, découvrant un sein, le touchant, puis descend vers la culotte, qui laisse deviner les lèvres.

Sa main s'enfouit dans ses cuisses, effleure le coton blanc du slip, fait cambrer légèrement la soubrette. Avec un regard de soumission, elle baisse son pantalon de pyjama. Se jette sur sa queue. "J'adore cette odeur" lance-t-elle avec fougue. Et il lui balance un ordre qui n'admet pas le refus : "Suce!".

Elle s'exécute avec délectation. Lui debout, écartant ses bras musclés, bombant ses tablettes de chocolat. On imagine que ça lui a plu, puisque, quelques jours plus tard, il viendra la pénétrer par derrière.