Harry Potter : un destin « fashion » pour Emma Watson

Posté par vincy, le 15 juillet 2011

Emma Watson, 24 millions d'euros dans son bas de soie, née à Paris il y a 21 ans, doit désormais faire un choix. Harry Potter est derrière elle, et lui a apporté gloire et fortune. Elle a su se faire couper les cheveux (et ainsi "tuer" son personnage d'Hermione Granger) pour dévoiler maturité et féminité. Il faut désormais qu'elle sache si elle abandonne le cinéma, ou pas.

Certes, elle a déjà la tête ailleurs : adorée des rédactrices en chef des magazines féminin depuis sa couverture de Teen Vogue, Watson est devenue l'égérie de Burberry en 2009 et 2010, avant de devenir la muse de Lancôme cette année.

La douce Hermione n'hésite pas à se sexualiser devant les appareils des plus grands photographes. Elle a pris un tel goût à la mode qu'elle a même créé une ligne de vêtements pour ados et une autre griffe davantage orientée sur le commerce équitable. Etudiante, pour garder les pieds sur terre, la jeune Emma avoue que le métier de styliste lui conviendrait bien.

Pas étonnant alors qu'elle ait accepté de jouer les costumières de Marilyn Monroe dans My Week with Marilyn, avec Michelle Williams. En dehors d'Harry Potter, Emma n'a tourné que dans un téléfilm, en 2007. Ballet Shoes a quand même séduit 5 millions de téléspectateurs britanniques.

Elle a confirmé sa présence dans The Perks of Being a Wallflower, en tournage cet été.

Lancôme s’offre le visage de Julia Roberts

Posté par vincy, le 6 décembre 2009

Uma Thurman chez Givenchy, Jude Law chez Dior ou Vincent Cassel chez Yves Saint-Laurent : c'est assez classique de voir une star de cinéma devenir le promoteur d'un parfum. L'Oréal et autres faiseurs de cosmétiques se payent même le luxe d'un casting mondialisé.

Lancôme, filiale de l'Oréal d'ailleurs, a souvent utilisé ce procédé pour lancer des lignes de produits de beauté (on se souvient tous d'Isabella Rossellini vantant le charme sucré de Trésor). Lancôme exploite actuellement les visages de Kate Winslet, Anne Hathaway, Juliette Binoche et Clive Owen.

Désormais, elle s'offre (our un prix confidentiel mais certainement très élevé) Julia Roberts comme ambassadrice "globale" de l'ensemble de la maison, c'est-à-dire de toute les marques. Roberts, qui sera hiérachiquement au dessus de tous les autres, agira comme un porte-parole du groupe.

Les qualificatifs employés par la société sont évidemment des superlatifs : "femme emblématique de son temps", talent exceptionnel et convictions bien trempées", "sublime". Et riche : elle gagne entre 10 et 13 millions d'euros par films.

On ignore pour l'instant comment sera traduit ce nouveau "poste" et la durée du contrat. En attendant on retrouvera Julia Roberts sur les grands écrans dans Valentine's Day, prévu dans toutes les salles en février prochain.