[L'instant Glam'] Cannes 2016 – Jour 8: la guerre des cheveux

Posté par cynthia, le 18 mai 2016

Oyé oyé cinéphiles... Huitième jour sur la croisette...et le huitième jour du 69e Festival de Cannes créa les cheveux!

Julie Depardieu est arrivée avec un champ de plumes et de fleurs dans les cheveux, tandis que Nathacha Régnier manquait cruellement de volume capillaire. Tout le contraire de Elie Chouraqui et son fils César qui nous ont fait un remake de La Guerre des étoiles: HAIR WARS!!!!! Que de bouclettes prépondérantes!!! Ça frisait comme la salade.

Nous avons aussi aperçu de nouveau Aishwarya Rai, magnifique et bien coiffée... Elle est d'ores et déjà considérée comme la reine du red carpet avec Blake Lively et nous sommes plus que d'accord!

Sinon à part les cheveux, on a craqué sur les robes de Laetitia Casta et d'Adèle Haenel. Surtout Adèle... Venue présenter La fille Inconnue des frères Dardenne, la belle a émerveillé nos yeux par sa beauté (et son petit sac adorable). La sobriété ça paye. Mais généralement le glamour n'est pas synonyme de sourire, comme nous l'a montré l'équipe du film Ma' Rosa qui offrait des petits smile timides aux photographes ,mais dégageait tellement de classe qu'on ne pouvait que les regarder. Idem pour le jury de La Cinéfondation.

Le niveau de classe est descendu à cause de Bella Hadid, la sœur de Gigi, qui  a débarqué en nuisette rouge sang... Oh, au temps pour moi, c'est une robe, enfin un bout de tissu collé à un autre bout de tissu. La belle mannequin de 19 ans a frôlé la catastrophe plus d'une fois avec sa robe fendue jusqu'aux fesses et décolleté plongeant (où certains j'en suis sûr se noieraient volontiers). Il est vrai que porter une robe pareil à Cannes, avec un vent persistant, c'est comme participer à une course d'obstacles en béquilles. Espérons que nos stars préférées freinent leur envie de provocation pour fusionner avec un peu plus de tenue.

Cannes 2016 : le court métrage en cinq rendez-vous incontournables

Posté par MpM, le 11 mai 2016

Bonne figure

Même si les stars, les paillettes et les films attendus ont tendance à monopoliser le devant de la scène, le Festival de Cannes n’en est pas moins un carrefour important pour le court métrage. Que ce soit pour découvrir de jeunes auteurs qui débutent, prendre des nouvelles de réalisateurs confirmés, ou tout simplement parce que l’on aime ce format qui, quoi qu’on en dise, existe pour lui-même, il serait dommage de faire l’impasse sur les temps forts qui lui sont consacrés au cours de la Quinzaine.

Short Film Corner : le paradis du format court

C’est évidemment le lieu le plus évident pour voir des courts métrages sur la croisette. En 2015, près de 2500 étaient inscrits, venus de 105 pays, et accessibles au visionnage sur l’un des 56 postes de consultation. Cette année, ce véritable marché du film court prendra place du 16 au 22 mai et devrait proposer un panorama plus que complet de la production mondiale.

Compétition officielle : la course à la Palme d’or

Qui succédera à Waves'98 de Ely Dagher ? Les concurrents sont au nombre de dix, et certains d’entre eux sont précédés d’une certaine notoriété : Simon Mesa Soto (Colombie) a déjà remporté cette distinction prestigieuse en 2014 avec Leidi et revient avec Madre, un film sur la pédo-pornographie ; João Paulo Miranda Maria (Brésil) était en compétition à la Semaine de la Critique en 2015 avec Command Action et propose A moça que dançou com o diablo ; le metteur en scène Lofti Achour présente La laine sur le dos… Quant à l’acteur Felix Moati, il montera les marches avec Après Suzanne qui réunit notamment Vincent Lacoste, Antoine de Barry et François Morel.

La Cinéfondation : étudiants sur tapis rouge

Ils sont encore à l’école, et leurs films (parfois le tout premier) auront les honneurs d’une sélection officielle dans l’un des plus prestigieux festivals du monde. De quoi présager du meilleur pour 14 réalisateurs sélectionnés cette année, et qui marchent dans les traces de Nadav Lapid et Deniz Gamze Ergüven (sélectionnés en 2006) ou de Claire Burger, présente en 2008. A priori, on a envie de tout voir, mais on suivra avec une attention particulière les films qui représentent deux pays sélectionnés pour la première fois : la Bosnie-Herzégovine (Dobro de Marta Hernaiz Pidal) et le Venezuela (La culpa, probablemente de Michael Labarca) ; ainsi que le documentaire d’animation Bei Wind und Wetter de Remo Scherrer (Suisse).

La Quinzaine des Réalisateurs : un grand maître, des débutants et de jeunes talents à suivre

Sélection gourmande pour la 48e Quinzaine des réalisateurs qui réunit de tout jeunes talents et un cinéaste réputé, pour un panorama éclectique et passionnant du court métrage contemporain. Ainsi, on retrouvera avec beaucoup de plaisir le nouveau film du réalisateur russe Gari Bardine, grand maître de l’animation de retour avec Listening to Beethoven. A ses côtés, les débuts derrière la caméra de Romane Gueret, qui coréalise Chasse royale avec Lise Akoka, la première fiction de Damien Ounouri (Fidaï en 2012) et même un film de fin d’étude, Happy end de Jan Saska. On surveillera également Léthé, le nouveau film de Dea Kulumbegashvili qui concourait pour la Palme d’or du court métrage en 2014 avec Invisible spaces, Hitchhiker de Jero Yun, réalisateur sélectionné à la résidence de la CInéfondation en 2012 et participant de la Taipei Factory en 2013, et Decorado de Alberto Vásquez, cinéaste espagnol qui vient de terminer son premier long métrage, Psiconautas.

La Semaine de la Critique : des courts à tous les étages

A la Semaine de la Critique, le court fait quasiment jeu égal avec le long, et s’octroie pas moins de quatre séances. Pour prendre des nouvelles de la jeune création, on privilégiera la compétition et ses dix films qui proposent un petit tour du monde de la fiction contemporaine (Europe, Asie, Amériques). Côté français, il faudra suivre Le soldat vierge, nouveau film d’Erwan Le Duc déjà découvert aux festivals de Vendôme et Angers, et L’enfance d’un chef, une comédie signée Antoine de Barry avec Vincent Lacoste et Felix Moati. On surveillera également l’intrigant dynamisme du cinéma portugais qui a lui-aussi deux films en course : Ascensão de Pedro Peralta et Campo de víboras de Cristèle Alves Meira. A noter que les 10 films de la selection seront disponibles gratuitement sur le site FestivalScope du 20 au 27 mai.

Plus people, mais tout aussi intrigante, la clôture réunit le premier court métrage de trois actrices passées pour la première fois derrière la caméra : Sandrine Kiberlain (Bonne figure, avec Chiara Mastroiani, notre photo), Chloé Sevigny (Kitty) et Laetitia Casta (En Moi avec Yvan Attal). Quant à la séance spéciale 50 + 5, elle donne des nouvelles de deux cinéastes révélés par la Semaine : Nadav Lapid (Myomano shel tzalam hatonot) et César Augusto Acevedo (Los pasos del agua).

Cannes 2016 : la Semaine de la Critique dévoile sa 55e sélection

Posté par MpM, le 18 avril 2016

Pour son édition anniversaire "50 + 5", la Semaine de la Critique propose une sélection riche de 10 longs métrages, dont 6 premiers films, et 15 courts et moyens métrages, sélectionnés parmi les 1500 courts et 1100 longs visionnés. En tout, dix-sept pays sont représentés avec une forte présence de l'Asie (Cambodge, Philippines, Taïwan, Singapour...) et de l'Europe du sud : Italie, Espagne, Grèce... et bien sûr Portugal, dont le dynamisme est visible à travers la sélection en compétition de deux courts métrages.

Bien que la Semaine fasse traditionnellement la part belle aux premiers films, on retrouve dans cette 55e sélection plusieurs réalisateurs qui sont loin d'être des inconnus. Ainsi, c'est Justine Triet (La bataille de Solférino) qui fait l'ouverture avec son deuxième long métrage Victoria qui compte Laure Calamy, Vincent Lacoste et Melvil Poupaud au générique. On retrouve également en séances spéciales Alessandro Comodin (L'été de Giacomo) et Jean-Christophe Meurisse de la compagnie Les chiens de Navarre ainsi que les nouveaux courts métrages de deux cinéastes confirmés révélés par la Semaine de la Critique : César Augusto Acevedo et Nadav Lapid.

Côté courts métrages, on retrouve des comédiennes passées pour la première fois derrière la caméra, Sandrine Kiberlain, Laetitia Casta et Chloë Sevigny, qui proposeront une séance de clôture pleine de fraîcheur. Enfin, la compétition longs métrages invite Julia Ducournau (dont le court métrage Junior avait été sélectionné par le comité court en 2011) et Davy Chou, qui passe à la fiction après l'étonnant documentaire Le sommeil d'or.

Séances spéciales longs métrages

Victoria de Justine Triet (France) - 2e film, film d'ouverture
Happy Times Will Come Soon d'Alessandro Comodin (Italie) - 2e film
Apnée de Jean-Christophe Meurisse (France) - 1er film

Compétition longs métrages

Albüm de Mehmet Can Mertolu (Turquie) - 1er film
Diamond Island de Davy Chou (Cambodge / France) - 2e film
Grave de Julia Ducournau (France) - 1er film
Mimosas d'Oliver Laxe (Espagne) - 2e film
Shavua ve Yom d'Asaph Polonsky (Israël) - 1er film
Tramontane de Vatche Boulghourjian (Liban) - 1er film
A Yellow Bird de K. Rajagopal (Singapour) - 1er film

Compétition court métrages

Arnie de Rina B. Tsou (Taïwan / Philippines)
Ascensão de Pedro Peralta (Portugal)
Campo de víboras de Cristèle Alves Meira (Portugal )
O Delírio é a redenção dos aflitos de Fellipe Fernandes (Brésil)
L’Enfance d’un Chef d'Antoine de Bary (France)
Limbo de Konstantina Kotzamani (Grèce)
Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros (Canada)
Prenjak de Wregas Bhanuteja (Indonésie)
Le Soldat vierge d'Erwan Le Duc (France)
Superbia de Luca Tóth (Hongrie)

Séances spéciales courts métrages

* Séance 50+5
Myomano shel tzalam hatonot de Nadav Lapid (Israël)
Los pasos del agua de César Augusto Acevedo (Colombie)

* Films de Clôture
Bonne Figure de Sandrine Kiberlain (France)
En Moi de Laetitia Casta (France)
Kitty de Chloë Sevigny (États-Unis)

L’instant glam’ : Laetitia Casta, Adèle Exarchopoulos, Aurélie Filippetti, Nicole Kidman…

Posté par cynthia, le 14 mai 2014

laetitia casta cannes 2014Oyé oyé cinéphiles, le 67e festival de Cannes a déroulé son tapis rouge aujourd'hui. Une ribambelle de célébrités talentueuses (ou pas) vont gravir les marches de Cannes durant deux semaines. Mais pourquoi, nous autres mortels, sommes fascinés par un geste aussi banal que de monter des escaliers? Et bien pour plusieurs raisons.

Prenez l'ouverture du Festival aujourd'hui. Le soleil brille, les cliquetis des paparazzis couvrent le bruit des oiseaux, Adèle Exarchopoulos illumine une nouvelle fois le tapis rouge cannois de son joli minois, Blake Lively accélère le rythme cardiaque de la gente masculine, Jane Campion arbore fièrement sa légendaire et brillante crinière tandis que Leila Hatami a revêtu la robe de sa défunte arrière grand-mère.

Néanmoins la star du jour n'est autre que Nicole Kidman, venue présenter en ouverture du festival le tant attendu Grace de Monaco. Vêtue d'une robe bleue somptueuse, elle agrippait de son bras le petit Tim Roth qui, bien qu'il lui arrive à la poitrine, fête ses 53 ans aujourd'hui. Saluons également le fan de Nicole qui brandissait un portrait géant d'elle, on pense qu'elle a dû aimer (ou avoir peur, au choix).

Toujours pas séduit par les marches cannoises ?

Laetitia Casta saura vous faire changer d'avis. La belle mannequin/actrice a littéralement ébouriffé le tapis rouge de sa robe bouffante de tous les côtés. Et ce n'est pas le talentueux journaliste Laurent Weil, qui en lui posant une question toute simple, a senti un vent glacial le traverser, qui nous dira le contraire :
- Laurent Weil : Girl power au festival cette année, Jane Campion, Sofia Coppola... les femmes sont à l'honneur ?
- Laetitia Casta : Mais les femmes sont à leur place! répond sèchement l’égérie de la marque L'Oréal.

Mr Weil, heureusement que vous aviez une veste afin de vous protéger de ce grand froid. Après, comprenez-la, elle le vaut bien. Par contre celle qui le vaut moins, c'est Aurélie Filippetti qui, vu le choix de sa robe, a dû perdre son styliste dans un grave accident cette semaine. A moins qu'elle n'ait été obligée de choisir sa robe dans le noir ce matin, parce que pour porter une nappe de cuisine à Cannes, faut être mal réveillé(e).

Ah Cannes et ses stars... c'en est presque de l'art. Une seule session de de contemplation ne nous suffit pas, c'est pour cela que je vous donne rendez-vous dès demain pour partager une nouvelle fois avec vous la présence de ces célébrités qui nous font tant rêver (ou rire)!

André Dussollier et Laetitia Casta tournent Des Apaches

Posté par vincy, le 13 mars 2014

En début de semaine, Nassim Amaouche a commencé le tournage de son deuxième film, selon les informations de Cineuropa. Des Apaches réunit le tandem inédit composé d'André Dussollier et de Laetitia Casta. Nassim Amaouche incarnera le personnage principal du film.

Cette production Ad Vitam, coécrite par le réalisateur et Guillaume Bréaud (qui vient de cosigner Bird People, le prochain film de Pascal Ferran), raconte l'histoire de Samir, la petite trentaine, qui vient de perdre sa mère. Au cimetière, il croise un homme, inconnu, qui est pourtant son père. De là, le passé va ressurgir et une affaire familiale va le plonger dans la population kabyle de Belleville. Il deviendra l'Apache, un homme libre et affranchi.

Le tournage se déroule essentiellement dans le quartier parisien de Belleville et fera un bref détour en Kabylie. Le film avait obtenu l'Avance sur recettes en 2011.

Nassim Amaouche a remporté le Grand Prix de la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 2009 Adieu Gary.

Venise 2012 : Michael Mann connaît les membres de son jury

Posté par vincy, le 13 juillet 2012

Deux comédiennes, une artiste (légèrement masochiste), cinq cinéastes. Ou une française, une serbe, une britannique, un italien, un argentin, une suisse, un israélien et un hong-kongais. Voilà le casting final!

La 69e Mostra de Venise a dévoilé son jury aujourd'hui. Michael Mann, déjà annoncé le 1r juin, comme président, sera donc entouré de Laetitia Casta, atout charme, Marina Abramovic (Lion d'or de la meilleure installation à la biennale de Venise en 1997), Samantha Morton (et pas Norton comme l'a écrit l'AFP, ndlr), Matteo Garrone (deux fois Grand prix du jury à Cannes, dont cette année avec Reality), Ari Folman (Valse avec Bashir), Pablo Trapero (dont le dernier film était à Cannes cette année), Ursula Meier (Home, L'enfant d'en haut) et Peter (Ho-Sun) Chan (Les seigneurs de guerre, Swordsman et Comrades ; Almost a Love Story).

Le roman Sévère devient le film Les adorés

Posté par vincy, le 29 octobre 2011

Annoncé en janvier, l'adaptation du roman de Régis Jauffret, Sévère (paru au Seuil en mars 2010), s'est rebaptisée Les adorés, d'après le titre d'une chanson d'Etienne Daho. Le tournage, en Belgique principalement, débute ces jours-ci pour s'achever en décembre.

Le film, réalisé par Hélène Fillières (voir aussi l'actualité du 7 janvier) met en vedette Benoît Poelvoorde et Laetitia Casta. Richard Bohringer complète le casting. Les adorés retracera, comme le livre, la liaison érotique SM et fatale entre un banquier et sa maîtresse. Il s'agit de l'histoire vraie d'Edouard Stern, assassiné par Cécile Brossard en février 2005. Le procès s'est tenu en 2009 : elle avait été reconnue coupable de meurtre et condamnée à 8 ans et demi de prison. Elle fut remise en liberté l'an dernier.

L'affaire Stern avait déjà inspiré Olivier Assayas, avec son film Boarding Gate.

Il faut noter que le roman de Jauffret est sous le coup d'une procédure judiciaire : la famille de Stern a en effet engagé des poursuites contre l'écrivain en octobre 2010, qui demande l'interdiction du roman, pour "atteinte à la vie privée". Le jugement doit être rendu cet automne.

Paris Cinéma 2011 : Derrière les murs, avec Laetitia Casta en 3D

Posté par kristofy, le 5 juillet 2011

Le film Derrière les murs s’annonce comme le premier film français réalisé en 3D (hors documentaire et animation) : un suspense où une romancière isolée à la campagne est sujette à des visions et à des cauchemars pendants que le village est troublé par de mystérieuses disparitions de petites filles…

Dans le cadre du Festival Paris Cinéma une avant-première a eu lieu avec la venue d’une partie de l’équipe du film : les deux réalisateurs Julien Lacombe et Pascal Sid, le comédien Jacques Bonaffé et l’actrice Laetitia Casta ont échangés quelques mots avec les spectateurs juste avant qu’ils découvrent leur film avec les lunettes 3D sur le nez.

Pour Jacques Bonaffé "il y a un monde inconnu derrière la 3D, c’est une chose un peu mystérieuse, et ce tournage a été une belle expérience cinématographique".

Laetitia Casta (à droite) est, elle, présente dans quasiment tout les plans du film : "j’ai été complètement immergée par le personnage, ça me touchait, ce qui m’a plu c’est la destruction de cette femme, sa douleur. C’est un personnage féminin complexe qui est très bien écrit. Quand les réalisateurs sont venus vers moi  environ trois semaines après le tournage commençait. Je n’ai pas eu vraiment le temps de me poser la question de la 3D, et tant mieux ce n’est pas si important quand on joue".

Les deux co-réalisateurs Julien Lacombe et Pascal Sid se sont expliqué sur leur choix pour cette technologie : "En fait on n’a pas écrit le scénario pour la 3D, le plus important était avant tout l’histoire racontée et le film fonctionne aussi en 2D traditionnelle. C’est au cours de la préparation que cette possibilité de narration nous a intéressé comme nouveau vecteur d’immersion et d’émotion. Techniquement sur le plateau il y a 2 caméras ensemble dans un seul bloc, c’est donc plus gros que d’habitude. C’est un appareil énorme qui peut être troublant pour les comédiens voir intrusif pour des gros plans, il y a beaucoup moins de place aussi pour l’équipe. Le procédé en lui-même ne révolutionne pas le cinéma mais c’est quelque chose qui est important. On apprécie que la 3D donne du volume aux visages, ça donne un relief qui apporte une sorte d’intimité plus grande avec les personnages".

Le film Derrière les murs veut raconter une histoire intimiste classique avec les codes du film à suspense, sortie en salles le  6 juillet.

Festival Paris Cinéma 2011 se déroule jusqu’au 13 juillet. Après Laetitia, on y verra sa sœur mannequin qui devient elle aussi actrice : Marie-Ange Casta est au générique du nouveau film de Tristan Aurouet Mineurs 27 avec Jean-Hugues Anglade.

Laetitia Casta aux côtés de Richard Gere, Susan Sarandon et Tim Roth

Posté par vincy, le 13 avril 2011

Laetitia Casta a été engagée pour être la maîtresse de Richard Gere dans le thriller financier Arbitrage, de Nicholas Jarecki (auteur du documentaire The Outsider).

Le film sera aussi interprété par Susan Sarandon, Tim Roth, Brit Marling, le rappeur Drake et Nate Parker.

Le tournage débute demain à New York. Il s'agit de l'histoire du financier Robert Miller (Richard Gere), spécialisé dans les fonds d'investissements, qui est obligé de s'appuyer sur un ennemi après une erreur bancaire importante.

Laetitia Casta incarnera une négociatrice en oeuvres d'art.

Mediator, Edouard Stern : le cinéma français s’empare de l’actualité

Posté par vincy, le 7 janvier 2011

Après le tournage de l'ascension de Nicolas Sarkzoy (La conquête, qui devrait être présent à Cannes) et alors que deux pré-productions sur l'Affaire Bettencourt sont en cours, le cinéma français va s'intéresser à deux autres faits d'actualité.

Tout d'abord le Médiator. Ce médicament des Laboratoires Servier qui aurait empoisonné au moins 500 victimes fait l'objet d'un scandale sanitaire depuis la publication d'une document du Dr Irène Frachon en juin dernier, inspire Jean-Paul Salomé qui envisage l'écriture d'un "thriller médical". La médecin qui a étudié les risques du médicaments serait interprété par Sophie Marceau, avec qui il a déjà tourné Belphégor et Les femmes de l'ombre.

Ensuite, l'affaire Edouard Stern, du nom de ce banquier de l'élite qui a été assassiné par sa maîtresse après une longue liaison érotique sado-masochiste. Hélène Fillières (la série télévisée Mafiosa) en fera son premier film, qui sera tourné en octobre.  Sévère, adapté du roman homonyme de Régis Jauffret (attaqué en justice pour atteinte à la vie privée par la famille du banquier), sera interprété par Benoit Poelvoorde et Laetitia Casta.