Deauville 2016 rend hommage à Chloë Grace-Moretz, Daniel Radcliffe, James Franco, Michael Moore et Stanley Tucci

Posté par cynthia, le 1 septembre 2016

Oyé oyé cinéphiles !  J-1 avant l'ouverture du 42e festival de Deauville. Comme tous les ans, nous serons présents, comme tous les ans nous avons tellement hâte d'y être que nos bagages sont déjà prêts depuis longtemps (peut-être trop longtemps, même...) et comme tous les ans cette grande fête du cinéma américain met à l'honneur une pléiade de stars !

Cette année, ce sont la belle Chloë Grace-Moretz (Kick Ass, La 5e vague...), récemment vue dans le second volet de Nos pires voisins, et l'acteur britannique aux yeux revolver Daniel Radcliffe (que l'on ne présente plus tant il reste pour toujours attaché au personnage d'Harry Potter) qui sont à l'honneur dans la catégorie "Le nouvel Hollywood" (puisque le cinéma c'est comme la garde de la Reine : il faut bien une relève).

Aux côtés de ces deux étoiles loin d'être filantes, le festival rend hommage au réalisateur Michael Moore (Bowling for Columbine, Fahrenheit 9/11) qui présentera Where to invade next, son nouveau film, l'acteur et réalisateur James Franco (127 heures, La planète des singes, Tandis que j'agonise...) et l'acteur et réalisateur Stanley Tucci (Kiss of death, Lovely bones, Hunger games...).

Tout ça met en bouche... il n'y a donc plus qu'à espérer le soleil (bien qu'on s'apprête à passer 20h par jour dans les salles, ce qui nous évitera de tomber dans la polémique du burkini) et en avant pour la nouvelle édition de l'un des plus célèbres festivals de cinéma du monde !

Deauville rendra hommage à Michael Moore

Posté par vincy, le 19 juillet 2016

Le 42e Festival du cinéma américain de Deauville qui se déroulera du 2 au 11 septembre rendra un hommage au documentariste et auteur Michael Moore, en sa présence, à l'occasion de la présentation en avant-première de son nouveau film Where to Invade Next. Le film sortira en salles le 14 septembre.

Dans Where to Invade Next, Michael Moore enfile le costume de l’envahisseur qui débarque de l’autre côté de l’Atlantique. Son but ? Importer les meilleures pratiques des pays étrangers pour changer l’avenir des États-Unis. En pleine campagne présidentielle, où le match Hillary Clinton/Donald Trump s'annonce aussi violent qu'incertain, cela aurait pu faire l'effet d'une bombe. Malheureusement, sorti trop tôt, en février dernier aux Etats-Unis, avec un Michael Moore malade, et incapable d'assurer la promotion de son film, le box office avait été décevant (3,8M$).

Dans le communiqué, le Festival de Deauville rappelle que Michael Moore "promène sa caméra le long des chemins et, avec sa seule parole, tient tête aux hommes de pouvoir les plus féroces." Il "est un héros américain, protégeant son pays de son pire ennemi : les États-Unis. D’un film à l’autre, il cherche à dissiper un rêve américain bâti sur des mirages : la toute-puissance patronale avec Roger et moi ou The Big One, le port d’arme dans Bowling for Columbine, la politique militaire postcoloniale de Georges W. Bush dans Farhenheit 9/11 (Palme d'or à Cannes), l’avidité du système de santé dans SiCKO ou encore les dérives du modèle économique dans Capitalism: A Love Story. En bientôt trente ans d’activisme artistique, Michael Moore s’est imposé comme un maître en la matière, pétrissant le réel et la fiction pour en extraire toute la vérité."