[We miss Cannes] 16 baisers inoubliables

Posté par vincy, le 20 mai 2020

C'est l'ultime tabou de cette période de pandémie: avec les masques, comment s'embrasser? Pourtant, le baiser, sous toutes ses formes, est un élément essentiel du cinéma, qu'il soit sulfureux, amoureux, passionné, transgressif, impudique, déclencheur ou révélateur du désir, magique, fougueux, à trois, pour déclarer sa flamme ou pour trahir, sur la plage ou sous une table.

Voici 16 baisers issus de films sélectionnés à Cannes. Pour tous les goûts.

Les enchaînés, Alfred Hitchcock (1946)

Love, Gaspar Noé (2015)

Sexe mensonges et vidéos, Steven Soderbergh, Palme d'or (1989)

J'ai tué ma mère, Xavier Dolan (2009)

Mulholland Drive, David Lynch (2001)

Cinema Paradiso, Giuseppe Tornatorre (1988)

Autant en emporte le vent, Victor Flemming (1968)

Drive, Nicolas Winding Refn (2011)

La belle et la bête, Gary Trousdale et Kirk Wise (1992)



Le Guépard, Luchino Visconti, Palme d'or (1963)

La vie d'Adèle, Abdellatif Kechiche, Palme d'or (2013)

La vita è bella, Roberto Benigni (1997)

Tant qu'il y aura des hommes, Fred Zinnemann (1954)

Happy Together, Wong Kar-wai (1997)

Les prédateurs, Tony Scott (1983)

Les ailes du désir, Wim Wenders (1987)

Bonus: un mash-up de baisers de cinéma, issu de Cinéma Paradiso