Les vétérans de la franchise réengagés pour The Bourne Legacy

Posté par vincy, le 31 juillet 2011

Joan Allen et Albert Finney, respectivement apparus dans le 2e et 3e épisode de la franchise Jason Bourne, ont confirmé leur engagement dans le 4e épisode, un spin-off sans Matt Damon, The Bourne Legacy.

Ils feront le lien entre la première trilogie et le "reboot", qui suscite des remous au sein de la communauté de fans... Joan Allen est un agent de la CIA, Pam Landy, celle-là même qui traquait puis aidait Bourne dans sa reconquête d'identité, tandis qu'Albert Finney, alias le Dr. Albert Hirsch, était le médecin en charge de "fabriquer" les supers-tueurs de l'Opération Tradestone.

The Bourne Legacy se concentre sur un autre assassin professionnel, incarné par Jeremy Renner (voir actualité du 22 avril). Le casting comprend aussi Rachel Weisz, Oscar Isaac et certainement Edward Norton, en discussion pour jouer le méchant à abattre.

Le film est réalisé par Tony Gilroy. Le tournage débute en septembre. La sortie est programmée le 3 août 2012 aux USA.

Quand la vidéo à la demande gonfle, le marché vidéo débande

Posté par vincy, le 30 juillet 2011

Le marché DVD/Blu Ray n'est plus ce qu'il était. Selon les chiffres publiés par le CNC, durant le premier semestre 2011, le chiffre d'affaire de la vidéo physique atteint 564,32 millions d'€ en pour 58,98 millions d'unités vendues, soit 9,1% de baisse en valeur et  5,4% de baisse en volume par rapport au premier semestre 2010. Non seulement moins de DVD/Blu Ray se sont vendus, mais en plus ils rapportent moins.

S'il n'y avait pas le Blu-Ray, la dépression serait encore plus accentuée. Le marché du DVD continue de perdre de la valeur (481,83 millions d'€ , -11,8% par rapport à 2010) et des clients (53,89 millions d'unités vendues, -7,8%).

Le nombre de Blu-ray vendus, de son côté, augmente moins que le chiffre d'affaires  : 5,09 millions d'unités  (+29,4%) pour un CA de 82,49 millions d'€ (+10,6% ). Reste que le Blu-Ray ne représente que 8,6% du marché global en nombre d'unités vendues (et 14,6% des ventes).

Au moins, le cinéma reste l'achat dominant, avec 60,8% du chiffre d'affaires. Le volume de films vendus sur ces supports est hélas en baisse avec 29,74 millions d'unités (-7,2%). Le cinéma français représente près d'un quart des revenus provenant de l'ensemble des films vendus en DVD/Blu-Ray. C'est largement moins que la part de marché des films français en salles (32%).

La croissance de la vidéo à la demande semble impacter sur le marché de la vidéo. La VàD a vu son chiffre d'affaire progresser de 22,8% au premier trimestre de l'année (soit 42,91 millions d'euros). Les films de cinéma représentent 64% des revenus issus des actes payants (les programmes adultes - X quoi - 27,7%). Le cinéma français intéresse davantage les "loueurs" puisque 31,8% des volumes de transaction ont concerné un film hexagonal.

Vincent Cassel ajoute Danny Boyle à sa filmographie

Posté par vincy, le 29 juillet 2011

Vincent Cassel avait débuté à Hollywood en jouant un aristocrate français précieux et homosexuel dans Elizabeth de Shekhar Kapur en 1998. Depuis il est devenu le seul acteur masculin du cinéma français à percer à Hollywood, puisqu'il a tourné avec Jez Butterworth, Paul McGuigan, Steven Soderbergh, Mikael Häfström, David Cronenberg et Darren Aronofsky.

Il va pouvoir rajouter Danny Boyle à sa liste puisqu'il sera du casting de son prochain film, Trance. Le film, prévu pour une sortie en 2013, racontera l'histoire de deux malfaiteurs, dans le cadre d'un vol d'oeuvres d'art. Rosario Dawson perturbera ce duo, dont l'autre mâle sera incarné par James McAvoy. Michael Fassbender était pressenti pour jouer le rôle finalement dévolu à Cassel.

Boyle promet un film sexy, noir et proche de ses premiers succès comme Petits meurtres entre amis et Trainspotting.

Le tournage devrait débuter cet automne à Londres avant que le réalisateur ne se concentre sur la mise en scène de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Coppola adopte la 3D et l’interactivité pour Twixt

Posté par vincy, le 29 juillet 2011

Francis Ford Coppola était aussi au Comic-Con de San Diego cette année. Un grand retour après 19 ans d'absence (il était venu présenter Dracula).

Cette fois-ci, Coppola est venu parler de son nouveau film, Twixt, qui fera son avant-première mondiale au prochain festival de Toronto. Film de genre, auto-produit, Twixt réunit Val Kilmer, Ben Chaplin, Elle Fanning et Bruce Dern.

C'est aussi le premier film en 3D du réalisateur de la trilogie du Parrain. Il précède chronologiquement Spielberg et Scorsese dans cet exercice du cinéma en relief.

Au Comic-Con, Coppola n'a pourtant pas été tendre avec cette technologie. "Je n'aime pas regarder la 3D avec des lunettes. J'ai même regardé Avatar en 3D mais la plupart du temps sans porter les lunettes. Je ne l'ai remettait que lorsque ces séquences l'exigeaient."

Coppola a surtout annoncé une tournée promotionnelle du film aussi insolite qu'intéressante : une tournée à la manière des concerts de musique, avec un orchestre pour interpréter en direct la bande originale.

Mais c'est surtout la projection du film dans les trente villes qu'il explorera un nouveau territoire : l'interactivité. Muni d'une tablette tactile, Coppola assemble les scènes de son film, en direct, selon les réactions du public. Un montage sur le vif, différent à chaque ville.

Sur Facebook, enfin, on peut aussi choisir la future affiche du film.

Quant au film, le cinéaste le résume ainsi : «  Un tiers de romance gothique, un tiers de film personnel, et un tiers de film d’horreur comme ceux avec lesquels j’ai démarré ma carrière ». L'idée lui est venue d'un rêve et de ses lectures. "Un écrivain sur le déclin arrive dans une petite ville pour une séance de dédicaces. Il se retrouve impliqué dans l’enquête sur le meurtre d’une jeune fille. Son fantôme lui apparaît en rêve, il décide d’écrire son histoire. Jusqu’à ce qu’il découvre que ce meurtre est intimement lié à sa propre vie" selon le synopsis officiel.

Mahnaz Mohammadi et Pegah Ahangarani ont été libérées

Posté par vincy, le 29 juillet 2011

Mahnaz Mohammadi, cinéaste iranienne et militante engagée des droits des femmes, avait été arrêtée à Téhéran ce dimanche 26 juin suite à une perquisition de son domicile par les forces de l’ordre (voir notre actualité du 29 juin). Elle est désormais libérée depuis le 27 juillet, sous caution. Aucune information concernant les chefs d’accusation ou le lieu de sa détention n’est disponible pour le moment.

Réalisatrice du film Femmes sans ombre, elle a également contribué au documentaire de Rakhshan Bani-Etemad, Nous sommes la moitié de la population, qui traitait des élections présidentielles de juin 2009. En juin 2010, Mahnaz Mohammadi est venue à Paris présenter un de ses films (Travelogue) dans le cadre d’une journée consacrée au cinéma iranien à la Cinémathèque française.

Mais, dans le collimateur des autorités iraniennes depuis plusieurs années, elle s’était déjà vu confisquer ses outils de travail (ordinateur, caméras, etc.) et plus récemment son passeport. Elle n’a ainsi pas pu se rendre à la présentation voici un mois à Cannes du film de Reza Serkanian  Noces éphémères dont elle est pourtant l’actrice principale.

Le même jour, l'actrice Pegah Ahangarani, arrêtée il y a deux semaines alors qu’elle se rendait en Allemagne pour assister à la Coupe du monde de football, a aussi été libérée.

Selon un porte-parole de la justice iranienne, d’autres personnalités du cinéma, toujours emprisonnées, devraient être libérées sous caution dans les prochains jours, et notamment l’actrice Marzieh Vafamehr et l’acteur Ramin Parchami.

Venise 2011 : Vanessa Paradis, Tahar Rahim, Vincent Lindon et Philippe Torreton aux Venice Days

Posté par vincy, le 28 juillet 2011

Nouveau lieu (La Pagoda), nouvelle orientation. La maison des auteurs, lieu de rencontre professionnel, a installé depuis 7 ans ce nouveau programme dans l'agenda déjà chargé de la Mostra. Pour ce 68e Festival de Venise, Venice Days s'étoffe, avec des auteurs souvent déjà très reconnus dans leur pays, des castings alléchants (Vanessa Paradis, Tahar Rahim, Vincent Lindon, Philippe Torreton, Vincent rottiers, Marie Gillain, Stefano Accorsi, Marie-Josée Croze, Ronit Elkabetz, Kevin Parent...), et finalement une sélection qui prend de la maturité. Une sorte de Quinzaine des réalisateurs, très européenne, à la quelle s'ajoute des séances spéciales où la coproduction de la France est très présente.

Venice Days

Another Silence, de Santiago Amigorena (Argentine)

My Name is Ki, de Ladzek Dawid (Pologne)

Ruggine, de Daniele Gaglianone (Italie)

Présumé coupable, de Vincent Garenq (France)

Toutes nos envies, de Philippe Lioret (France)

Love and Bruises, de Lou Ye (France)

Historias, de Julia Murat (Brésil)

Twilight portrait, d'Angelina Nikonova (Russie)

Io Sono Li, d'Andrea Segre (Italie)

Hiver dernier, de John Shank (Belgique)

Café de Flore, de Jean marc Vallée (Canada)

Habibi, de Susan Youssef (Palestine)

Venise 2011 : une Semaine de la critique très latine

Posté par vincy, le 28 juillet 2011

Deux films français, deux coproductions majoritaires. Le cinéma français impose près de la moitié des titres de la Settimania Internazionale della Critica du 68e Festival de Venise. Au total avec les films latino-américains et italiens, les deux tiers des oeuvres présentées sont d'origine latine. Il faut rajouter la séance spéciale lors des Venice Days, de l'italien Voi siete qui, de Francesco Matera.

Semaine de la critique

El campo, Hernán Belón (Argentine)

El lenguaje de los machetes, Kyzza Terrazas (Mexique)

Là-bas, Guido Lombardi (Italie)

La terre outragée, Michale Boganim (France)

Louise Wimmer, Cyril Mennegun (France)

Marécages, Guy Édoin (Canada)

Totem, Jessica Krummacher (Allemagne)

Stockholm Est, Simon Kaijser da Silva (Suède) - ouverture, hors compétition

Missione di pace, Francesco Lagi (Italie) - clôture, hors compétition

Venise 2011 : James Franco en vedette américaine de la sélection Orizzonti

Posté par vincy, le 28 juillet 2011

Orizzonti

De Pippo Delbono à Yves Caumon, de Jonathan Demme à Marina de Van, de Yolande Zauberman  à James Franco (l'acteur réalise son premier long métrage), la sélection Orizzonti du 68e Festival de Venise, qui se veut un panorama du cinéma contemporain mondial pioche dans les premiers films comme dans les retours derrière la caméra d'auteurs moins connus. Elle est aussi géographiquement plus diversifié que la Sélection officielle.

Cut, de Amir Naderi (Japon) - ouverture

L'oiseau, d'Yves Caumon (France)

Hail, d'Amiel Courtin-Wilson (Australie)

Nocturnos, d'Edgardo Cozarinsky (Argentine)

Amore Carne, de Pippo Delbono (Italie)

I'm Caroline Parker, de Jonathan Demme (U.S.)

Sal, de James Franco (U.S.)

Whore's Glory, de Michael Glawogger (Autriche)

Die Herde des Herrn, de Romulda Karmakar (Allemagne)

Stateless Things, de KIM Kyungmook (Corée du sud)

Girimunho (Swirl), de Helvécio Marins J. et Clarissa Campolina (Brésil)

Photographic Memeory, de Ross McElwee (U.S.)

L'envahisseur, de Nicolas Provost (Belgique)

Shock Head Soul, de Simon Plummel (Pays Bas)

Two Years at Sea, de Ben Rivers (R.Uni)

Anhey ghorhey da daan (Alms of the Blind Horse), de Gurvinder Singh (Inde)

O le tulafale (The Orator), de Tusi Tamasese (Samoa)

Lung Neaw Visits His Neighbourgs, de Rirkrit Tiravanija (Thaïlande)

Verano, de José Luis Torres Leiva (Chili)

Kotoko, de Shinya Tsukamoto (Japon)

Le petit Poucet, de Marina de Van (France)

Cygne, de Teresa Villaverde (Portugal)

Wokou de zongji (The Sword Identity), de XU Haofeng (Chine)

Would you have sex with an arab? , d'Yolande zauberman (France)

Venise 2011 : plusieurs maîtres dans la sélection officielle

Posté par vincy, le 28 juillet 2011

La 68e édition du Festival de Venise s'annonce étoilée : entre les stars hollywoodiennes (Pacino, Soderbergh, Clooney, Madonna, ...), les maîtres du genre (Cronenberg, Friedkin, Ferrara...), les auteurs décalés que la Mostra affectionne tant (Solondz), le cinéma américain est presque sur-représenté.  Jodie Foster, Kate Winslet, Keira Knightley, Ryan Gosling, Philip Seymour Hoffman, Marisa Tomei, Viggo Mortensen, Matthew McConaughey, Christopher Walken, Matt Damon, Jude Law, Colin Firth, Gary Oldman, Sam Worthington, Gwyneth Paltrow sont toutes susceptibles de venir défendre un film sur la lagune vénitienne.

Le cinéma anglo-saxon domine une sélection officielle qui est pourtant plus variée qu'il n'y paraît. Déjà, notons la belle proportion de films français et italiens : Garrel, Satrapi et Paronnaud, Polanski, Ackerman, Comencini, Crialese, Olmi... En choisissant autant de films russes, et en se concentrant uniquement sur la Chine et le Japon pour l'Asie, Venise oublie des pans entiers du cinéma mondial.

La variété des propositions cinématographiques suscite un désir de cinéphile évident. Mais l'Amérique latine est complètement absente, l'Asie relativement mal représentée (aucun film coréen par exemple, ni iranien). Ce centrisme occidental pourrait même être jugé inquiétant pour Venise qui s'offre peu de découvertes. Il y a bien trois auteurs révélés par Cannes (Arnold, Lamthimos et McQueen) qui y feront leurs premiers pas. Mais c'est hors-compétition que la véritable nature du festival devrait se dévoiler avec des films très engagés réalisés par des collectifs : Tahrir 2011, Tamer Ezzat, Ahmad Abdalla, Ayten Amin, Amr Salama, sur la révolution égyptienne de cet hiver, et deux oeuvres syriennes, The End et Vanguard, du Collectif Abounabbara.

Compétition :

The Ides of March, George Clooney (U.S.) - ouverture de la compétition

Tinker, Tailor, Soldier, Spy, Tomas Alfredson (Suède)

Wuthering Heights, Andrea Arnold (R.Uni)

Texas Killing Fields, Ami Canaan Mann (U.S.)

A Dangerous Method, David Cronenberg (Canada)

Silent Souls, Aleksei Fedorchenko (Russie)

Last Day on Earth, Abel Ferrara (U.S.)

Killer Joe, William Friedkin (U.S.)

The Exchange, Eran Kolirin (Israël)

Alps, Yorgos Lamthimos (Grèce)

Shame, Steve McQueen (R.Uni)

Carnage, Roman Polanski (France)

Poulet aux prunes, Marjane Satrapi, Vincent Paronnaud (France)

Après le sud, Philippe Garrel (France)

A Simple Life, Ann Hui (Chine)

Faust, Aleksander Sokourov (Russie)

Dark Horse, Todd Solondz (U.S.)

Himizu, Sion Sono (Japon)

Seediq Bale, Wei Desheng (Taiwan)

Quando la Notte, Cristina Comencini (Italie)

Terraferma, Emanuele Crialese (Italie)

L'Ultimo Terrestre, Gipi (Italie)

Hors- Compétition :

Vivan las Antipodas!, Victor Kossakovsky (Russie) - ouverture de la sélection hors compétition

La Folie Almayer, Chantal Akerman (France)

The Moth Diaries, Mary Harron (Canada)

W.E., Madonna (R. Uni.)

Il villaggio di cartone, Ermanno Olmi (Italie)

Wilde Salome, Al Pacino (U.S.)

Contagion, Steven Soderbergh (U.S.)

The Sorcerer and the White Snake, Tony Ching Siu-tung (Chine)

Giochi d'estate, Rolando Colla (Italie/Suisse)

La Désintegration, Philippe Faucon (Belgique)

Alois Nebel, Tomas Lunak (Rép. Tchèque)

Eva, Kike Maillo (Espagne)

Scossa, Francesco Maselli, Carlo Lizzani, Ugo Gregoretti, Nino Russo (Italie)

La Clé des chants, Claude Nuridsany, Marie Perennou (France)

Tormented, Takashi Shimizu (Japon)

Marco Bellocchio, Venezia 2011, Pietro Marcello (Italie)

La Meditazione di Hayez, Mario Martone (Italie)

Tahrir 2011, Tamer Ezzat, Ahmad Abdalla, Ayten Amin, Amr Salama (Egypte)

The End,  Collectif Abounabbara (Syrie)

Vanguard, Collectif Abounabbara (Syrie)

Evolution (Megaplex 3D), Marco Brambilla (U.S.)

Damsels in Distress, Whit Stillman (U.S.) - film de clôture

Hilary Swank s’engage dans un Western de Science-Fiction

Posté par vincy, le 27 juillet 2011

On le disait dans notre critique de La Locataire, qui sort aujourd'hui sur les écrans : malgré ses deux Oscars, Hilary Swank, 37 ans, semble sombrer dans les navets, qu'ils soient des thrillers ou des mélos. Depuis 2004 et Million Dollar Baby, l'actrice n'a aucun film marquant dans sa filmographie. Elle a peut-être mis fin à sa spirale en acceptant de jouer dans la comédie "chorale" de Garry Marshall, New Year's Eve, spin-off de Valentine's Day, où elle côtoiera Robert De Niro, Ashton Kutcher, Michelle Pfeiffer, Zac Efron, Katherine Heigl, Sarah Jessica Parker, Jessica Biel...

Mais surtout elle vient d'accepter de jouer (et coproduire) dans l'adaptation de la BD Shrapnel. A ne pas confondre avec 1) le  personnage homonyme de Transformers 2) le méchant homonyme de la BD Doom Patrol 3) le personnage homonyme du roman de Leonara Miano dans Tels des astres éteints 4) le titre homonyme du film de John McTiernan.

Ce Shrapnel est une série de trois volumes créés par Nick Sagan et Mark Long, édités par Radical Comics en 2009 (pas traduits en France). La BD se situe en 2250, sur Vénus. Vijaya Narayan, ancienne officier militaire, se rend compte qu'elle a fait une grave erreur. Après avoir détruit des colonies et des civilisations sur toutes les planètes au nom de l'Alliance Solaire, elle réalise que ce carnage a été fait pour de mauvaises raisons. Elle organisera donc une révolte contre ceux qui ont combattu à ses côtés, en prenant la tête des colonisés, qu'elle voudra mener à la liberté.

Radical Comics et Radical Pictures sont producteurs. Toby Wagstaff a été engagé pour écrire le scénario, qui devrait ressembler à un Western de Science-fiction. Reste à trouver le réalisateur : Joseph Kosinski (Tron : l'héritage, le futur Oblivion avec Tom Cruise) est pressenti

Swank aurait accepté de s'impliquer dans ce projet pour montrer ses capacités à porter un film d'action, en clair changer l'orientation de sa carrière et aller vers des films plus grand public. Sans calendrier précis, le film ne devrait pas sortir avant 2013.