Joaquin Phoenix : Walk off the Line

Posté par vincy, le 1 novembre 2008

C'est son tour. Il y eut Sean Penn (plusieurs fois), Mathieu Amalric ... Joaquin Phoenix a annoncé qu'il ne voulait "plus faire de films". Généralement ce genre de déclarations se termine par une avalanche de propositions. Ironiquement, on pourrait même croire que cela relance positivement une carrière.

Mais pourquoi ne pas croire Joaquin? Oscarisé, 34 ans, il voudrait se concentrer sur la musique et n'a en effet aucun tournage ou projet en cours. Ses deux derniers films, Two Lovers et Reservation Road, sortent d'ici la fin de l'année. Côté musique, d'avoir joué Johnny Cash lui a donné des ailes. Il a gagné un Grammy Award (les Victoires de la musique américaines). Il écrit les textes d'un album composé par Tim Burgess et chanté par Anthony Langdon, ancien membre des Spacehog.

Mon Premier Festival : Igor

Posté par Morgane, le 1 novembre 2008

Les vacances s’égrènent et Mon Premier Festival avec. Pour son sixième jour, le festival à destination des enfants a présenté au cinéma l’Entrepôt et en avant-première le film Igor (en salles le 17 décembre), petit cadeau de noël d’Anthony Leondis, réalisateur du deuxième opus de Lilo et Stitch.

Dans cette nouvelle aventure, le héros n’est autre qu’un igor, un de ces nombreux bossus qui vivent pour servir les autres et principalement les savants fous de Malaria. Mais Igor n’est pas un Igor comme les autres car il rêve de devenir lui-même un de ces fameux inventeurs… L’idée est plutôt intéressante et les deux compagnons qui accompagnent Igor dans ses (més)aventures –un lapin immortel suicidaire et un cerveau en bocal pas très malin- sont les personnages assez drôles qui donnent la touche d’humour nécessaire au film. Quant à l’idée d’une invention maléfique qui n’incarne finalement que gentillesse et bonté, celle-ci donne la touche tendre au récit. Les gentils affrontent les méchants, le héros au grand cœur trouve l’âme sœur et la beauté intérieure se révèle bien plus belle que celle que l’on voit. Tous les ingrédients sont alors réunis pour faire d’Igor un film d’animation certes d’une originalité pas si flagrante mais dont l’histoire reste touchante et bien menée. On reviendra donc vous parler d’Igor courant décembre et d’ici là, bonne fin de festival.