Madonna s’invite chez le Président Sean Penn

Posté par vincy, le 29 avril 2008

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L'invitation de Sharon Stone aurait pu être presque banale. La présidente de la soirée de bienfaisance de l'amfAR (lutte contre le SIDA), qui se tiendra le 22 mai au Moulin de Mougins, a demandé à Madonna de jouer les invitées vedettes pour le gala de charité. Après avoir présenté son premier long métrage à Berlin, la chanteuse revient monter les marches (on se souvient tous de sa combinaison osée de chez Gaultier pour la projection de In Bed With Madonna). En pleine promo de son nouvel album Hard Candy, la reine des Dancefloors s'offrira aussi un moment de gloire avec son documentaire sur le Malawi, I Am Because We Are.

Que du banal, on vous dit. Pourtant ce n'est pas si fréquent de voir Madonna sur le terrain de Sean Penn. 21 ans qu'ils ont divorcés les ex-enfants terribles de la presse people des années 80.  On imagine déjà les flashes en alerte et les rumeurs les plus folles se propager... 

Parlez moi du beau temps…

Posté par vincy, le 29 avril 2008

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Le nouveau film de la réalisatrice française Agnès Jaoui, Parlez-moi de la pluie, n'a pas été écarté de la sélection du 61e Festival de Cannes, selon Thierry Frémaux, démentant sur France Inter des "rumeurs" relayées par la presse.

Interrogé sur le fait de savoir si le nouveau film de la réalisatrice, le premier depuis Comme une image, prix du scénario à Cannes en 2004, avait été "écarté" de la sélection, M. Frémaux a répondu: "ce n'est pas vrai", ajoutant que "c'est un film formidable"."Le film d'Agnès Jaoui avec Jean-Pierre Bacri et Jamel Debbouze, que j'ai vu, n'a pas été soumis au Festival parce qu'ils ont une stratégie de sortie pour l'automne prochain", a-t-il déclaré. Par ailleurs, nous savons aussi que les "Jabac" apprécient peu le barnum cannois, souvent en décalage avec l'esprit glamour et festif...

Prévu pour sortir le 17 septembre prochain, il s'agit de l'un des films français les plus attendus du second semestre.

15 ans et demi, l’âge ingrat ?

Posté par Morgane, le 29 avril 2008

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Sortie le 30 avril

Synopsis : Philippe Le Tallec, brillant scientifique vivant aux Etats-Unis depuis 15 ans, décide de rentrer en France s'occuper de sa fille Eglantine. Il espère profiter de cette occasion pour tisser des liens avec cette jeune fille et rattraper le temps perdu, mais elle a bien d'autres préoccupations que de passer du temps avec son père...
Le séjour s’annonce très différent de ce qu’il avait imaginé, et Philippe est totalement dépassé. Il va se résoudre à faire un improbable stage de rééducation pour pères en difficulté, animé par Jean-Maxence, un célèbre auteur de méthodes en tous genres…
(in DP)

Critique: 15 ans serait-il le plus bel âge de la vie ? A en croire la nouvelle comédie du duo de réalisateurs François Desagnat et Thomas Sorriaux (La Beuze et Les Onze Commandements), la réponse pencherait pour le oui en ce qui concerne l’adolescente en question qui voit fleurir ses premières amours, même si la vie n’est pas toujours rose puisque les parents font tout pour la lui gâcher, évidemment. Mais pour le papa, de retour après 15 ans d’absence ou presque, les choses ne lui apparaissent pas sous cet angle et plutôt qu’être le plus bel âge de la vie, l’adolescence de sa fille ressemble, à s’y méprendre, à ce qu’on appelle l’âge ingrat.

Avec 15 ans et demi, l’on assiste alors à une comédie tirant toutes ficelles possibles et inimaginables liées à l’adolescence. Allant de clichés en lieux communs, le film n’est pas vraiment rempli de surprises. Les situations téléphonées se succèdent et l’humour trouve rarement sa place.

Les deux réalisateurs dépeignent le monde des adolescents comme un univers inconnu et mystérieux dans lequel les adultes doivent plonger et apprendre les codes s’ils veulent un jour communiquer à nouveau avec leur progéniture. Le récit avance à coups de verlan, de situations improbables et d’apparitions incongrues de François Berléand sous les traits d’Albert Einstein. Il n’y a guère que la présence d’<Alain Chabat en punk-junkie qui fait sourire.

Une fable sur l’adolescence qui ne nous fait pas regretter d’avoir dépasser cet âge sans nous donner non plus l’envie de devenir adulte. Reprenons, pour conclure, les propres mots du film tant de fois répétés : « ça l’fait trop pas ! ».

Le crâne de cristal du prochain Indiana Jones au musée du Quai Branly

Posté par Raphaël, le 29 avril 2008

                  

Quand la fiction s'inspire de la réalité... 

Alors qu'Indiana Jones fera son grand retour sur les écrans français le 21 mai prochain (et quelques jours avant sur la Croisette), le Musée du Quai Branly a décidé d'exhiber opportunément l'un des fameux crâne de cristal, héros du film, et de lui dédier une exposition du 20 mai au 7 septembre. 

Il existe en réalité, douze exemplaires de crânes "en cristal" à travers le monde, dont un au British Museum de Londres et un à Paris (en photo). Présenté autrefois au Musée de l'Homme du Palais de Chaillot , le crâne dit "de Paris" est en quartz limpide d'une grande pureté. Il mesure 11 cm de haut et pèse presque 2,8 kg. Il est considéré comme un chef d’oeuvre de la culture aztèque. De nombreux doutes, cependant, existent sur la véritable origine et la date de ce crâne, qui serait beaucoup plus contemporains.

Selon les amateurs d'ésotérisme, dont la mouvance new age, les crânes de cristal ont une origine et des pouvoirs surnaturels, comme celui de guérir ou de réfléchir la lumière en la projetant par les orbites. Les douzes crânes représenteraient les douze mondes dans lesquels la vie humaine aurait été présente, la Terre étant le plus jeune de ces mondes. D'ailleurs, la Terre aurait eu elle-même son crâne ce qui porte à 13 le nombre de ces précieux objets. Superstition ?

Une interprétation de la légende indique même qu'il faudrait réunir les 13 crânes le dernier jour du calendrier Maya, soit le 21 décembre 2012, pour éviter le basculement de notre planête ! Mais n'ayez crainte, Indiana Jones, même atteint d'arthrose, veille sur nous. 

Les crânes de cristal, dont celui  de Paris, exercent toujours autant de fascination grâce au mystère entourant leur création et grâce à toutes les croyances et légendes, même les plus folles, faites autour de ces reliques.  Pour en savoir plus, rendez-vous au Musée du Quai Branly dès le 20 mai et le lendemain dans les salles de cinéma.